Trop de joie il est à vivre,
Trop d’espoir et de peurs en liberté,
Pour que brièvement nous ne remerciions,
Les dieux, quels qu’’ils soient à régner,
De ce qu’aucune vie ne dure à jamais,
De ce qu’aucun mort jamais ne ressuscite,
De ce que même le fleuve le plus usé,
Toujours trouve refuge sûr dans la mer.
A. C. Swinburne, Le jardin de Proserpine
Tout le monde finit par mourir.
John Garfield, Corps et Âme
Tout le monde finit par mourir.
Randy Newman, Old Man
Aux portes de la vie, près du souffle qui s’envole,
Il est pire attente que celle de seulement mourir.
Swinburne, Le Triomphe du temps